Trophée BPGO – Jules Delpech et Aurélien Barthélémy – Retrospective et interview
Interview d’Aurélien Barthélémy à l’issue du Trophée BPGO
Trophée BPGO : une expérience enrichissante malgré l’attente
Attendre ne me dérange pas, même si j’ai envie de progresser sur le parcours. rester trois heures au même endroit n’est pas agréable, mais cela aide à garder la tête froide et à éviter les décisions impulsives pour rester en tête. Cette situation remet les compteurs à zéro : après s’être retrouvé plusieurs fois coincés dans des zones sans vent, nous avons perdu notre avance et le reste du peloton nous a rattrapé. Nous avons constamment dû défendre notre position, sans avoir l’occasion de rattraper les concurrents devant nous.
Quels enseignements tires-tu de cette expérience ?
J’ai découvert que j’adore naviguer sur un Figaro. Cette expérience m’a donné envie de continuer en double et en équipage et surtout de lancer un projet en solo. J’ai apprécié l’intensité de la course, qui demande de rester vigilant sur plusieurs jours. Ce format m’a offert une perspective plus réaliste de la course au large en Figaro, mêlant des phases de régate serrée, presque comme en voile olympique, avec des décisions stratégiques à long terme. J’ai aimé ce mélange où chauqe mètre compte pour croiser devant les autres concurrents. Cette combinaison unique est ce qui me plaît le plus dans la navigation en Figaro.
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